@article{oai:kansai-u.repo.nii.ac.jp:00005726, author = {大久保, 朝憲}, journal = {フランス語学研究}, month = {Jun}, note = {Parmi les cas ou un substantif peut apparaitre sans article dans un enonce, nous traitons dans cet article des cas ou le complement d'objet direct (c.o.d.) n'est accompagne d'aucun determinant, tels que faire gaffe, prendre plaisir, tenir compagnie, etc. En examinant des exemples de cette sorte, premierement, on voit que les substantifs qui peuvent apparaitre ainsi appartiennent a la classe des noms qu'on appelle generalement "noms abstraits"; deuxiemement, si l'on fait un peu plus attention aux verbes permettant le c.o.d. sans article, on decouvre qu'il s'agit de verbes qui sont tres pauvres semantiquement tels que faire, avoir, prendre, etc. De la nous proposons les trois hypotheses suivantes: (1) Les substantifs apparaissant sans article comme c.o.d. sont des noms abstraits qui profilent une "relation" en tant qu'une region dans un domaine cognitif. (2) Ces substantifs sont ceux dont seulement le "type" est specifie: ils ne sont ni "exemplifies (instantiated)" ni "reperes (grounded)" comme syntagmes nominaux dans le domaine de l'enonciation. (3) Ces substantifs "elaborent" la relation entiere que profile le verbe schematique. Nous verifions ces hypotheses en definissant tous les termes techniques utilises dans le contexte de la linguistique cognitive, surtout dans la methode de Langacker (1987a, b, 1991). On peut ainsi considerer cet article comme une etude de cas de cette methode qui traite la relation entre la determination nominale et la cognition de ce qui est reifie en francais.}, pages = {46--54}, title = {目的語無冠詞名詞のスキーマ}, volume = {29}, year = {1995} }